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GUÉRISON D’UN MÉLANOME CHEZ UN CHEVAL

Guérison d’un mélanome chez un cheval

J’ai l’honneur de vous présenter mon nouveau produit : Curcumisan Plus en poudre spécialement conçu pour les chiens, chats, chevaux… que vous pouvez offrir à votre animal de compagnie a n de lui donner toutes les chances de préserver sa santé ! Parce qu’il n’y a que vous pour veiller sur sa santé, alors redonnez-leur aussi la joie de vivre.

Par Dr Shahid Nasim

Chers adhérents de l’ABE, Vous consommez depuis trois ans mes produits et plus particulièrement le produit phare Curcumisan Plus (mesuré par l’ABE) pour qui vous êtes devenus très fidèles et je vous remercie pour votre appréciation qui me donne l’immense plaisir que mon produit vous procure du bien. J’ai l’honneur de vous présenter mon nouveau produit : Curcumisan Plus en poudre spécialement conçu pour les chiens, chats, chevaux… que vous pouvez offrir à votre animal de compagnie afin de lui donner toutes les chances de préserver sa santé ! Parce qu’il n’y a que vous pour veiller sur sa santé, alors redonnez-leur aussi la joie de vivre.

Je souhaite partager avec vous la très belle histoire du cheval Manchy. J’ai été contacté au début de l’année par Mme Pagliani pour son cheval qui présentait un mélanome (image 1) et personne ne pouvait plus l’aider. En tant que médecin cancérologue et non vétérinaire, je n’avais aucune expérience des animaux. En constatant l’inquiétude et le souci de Mme Pagliani pour son cheval, j’ai proposé d’essayer avec Curcumisan Plus et le baume Kamran (antiseptique). On a donné jusqu’à 60 g (il pèse environ 400 kg) de curcuma en poudre par jour et mis le baume sur la partie concernée. Par miracle, après une semaine, la cicatrice (image 2) a commencé à diminuer, la semaine suivante, elle a encore réduit de taille et au bout de la 4e semaine il n’y avait plus rien. C’était un bonheur pour Mme Pagliani et pour moi aussi car mon premier malade a été bien soigné, et mon produit donne l’espoir aux millions de chevaux qui sont victimes de mélanomes. Je suis ravi et soulagé par cet événement et vous pouvez lire son témoignage dans l’encadré ci-dessous.

TÉMOIGNAGE :

 « Mon cheval gris de 22 ans, en pleine forme malgré des mélanomes qui avaient grossi autour de l’anus suite à une première poussée inflammatoire il y a 3 ans, a connu début juin 2018 une nouvelle poussée inflammatoire qui a, cette fois, généré une plaie très impressionnante sur le mélanome à droite de l’anus (celui-ci avait presque doublé de volume). Avec l’aide du Dr Shahid Nasim qu’une amie m’a conseillé de contacter, un traitement à base de curcuma dans l’alimentation et d’applications de baumes Kamran a permis de faire régresser cette plaie jusqu’à sa disparition, en moins d’un mois seulement. J’écris ce témoignage à l’intention de tous les propriétaires de chevaux blancs ou gris victimes de cette pathologie devant laquelle les vétérinaires eux-mêmes se sentent impuissants. Il est évident que ce traitement, comme d’autres, demandent un investissement personnel, de la patience et de la confiance… Mais voir, jour après jour, une amélioration, non seulement de l’endroit traité, mais de l’état général de son fidèle ami en vaut largement la chandelle ! » Mme N. Pagliani, Aix-en-Provence.

Le mélanome chez le cheval

Le mélanome est une tumeur affectant les cellules mélanocytaires (pigmentaires) de la peau, sans prédisposition raciale ou sexuelle. Les tumeurs des mélanocytes sont communes et facilement identifiées par le praticien vétérinaire. Elles représentent entre 4 et 15% des tumeurs cutanées équines. Mais l’incidence réelle de ces tumeurs n’est pas connue. Les chevaux à robe grise sont particulièrement touchés (plus de 80% atteints chez les plus de 15 ans), rendant cette maladie de peau relativement fréquente puisqu’elle représente environ 10% des tumeurs cutanées du cheval. Certains mélanomes sont discrets et le restent tout au long de la vie du cheval. La plupart des mélanomes sont bénins lorsqu’on les découvre, la moitié d’entre eux se transforment en tumeur maligne. Le risque ce sont alors les métastases : des cellules cancéreuses qui se disséminent dans le reste du corps et provoquent le développement de tumeurs dans d’autres organes. On le trouve le plus souvent en région périnéale et périanale, sous la queue, au niveau du fourreau, des parotides ou encore des lèvres ou des paupières. On peut avoir sur un même cheval plusieurs mélanomes, qui peuvent rester stables ou se rejoindre les uns aux autres, augmenter de taille ou se multiplier (notamment sur les chevaux gris et en région périnéale). Des mélanomes envahissants en région anale et périnéale sont souvent accompagnés de troubles de la défécation. En cas de mélanomes autour de la région anale, l’inflammation locale peut être très gênante, notamment en été avec la chaleur et les insectes. Le cheval a tendance à se gratter, les mélanomes peuvent s’ulcérer et suinter, attirant les mouches.

Causes du développement des mélanomes chez le cheval

La peau est fréquemment la cible de maladies néoplasiques (cancéreuses). En effet, les cellules y sont en continuel renouvellement, favorisant le développement de tumeurs primaires mais aussi de métastases secondaires à des tumeurs de tissus sous-jacents. Elles sont cependant plus fréquentes chez les chevaux gris et blancs. Certaines races semblent particulièrement prédisposées : chevaux arabes, camarguais, pur-sang et percherons. Chez les chevaux camarguais, ces tumeurs apparaissent, en moyenne, à un âge compris entre 5 et 9 ans. Dans cette race la prévalence est de 67% après 15 ans. Au moins 80% des vieux chevaux gris présentent des tumeurs des mélanocytes. Le sexe ne semble pas intervenir dans la prédisposition, mâles et femelles sont touchés de la même façon. Le problème du mélanome est que, bien souvent, celui-ci se développe petit à petit et ne vient à gêner que lorsqu’il a atteint une taille trop importante. La plupart de ces tumeurs ont donc, au début, une croissance lente pendant de nombreuses années. Environ 95% de ces tumeurs sont bénignes lors de leur découverte. Les mélanomes équins peuvent être classés en différents types : nævus mélanocytaire, mélanome, mélanomatose, mélanome anaplasique malin. Ces deux derniers types, en particulier, peuvent être difficiles à exciser entièrement ou à traiter par chimiothérapie. Des mélanomes envahissants en région anale et périnéale sont souvent accompagnés de troubles de la défécation.

Précaution et traitement

Il est conseillé de surveiller son évolution, et de faire attention à ce que cette tumeur ne saigne pas. Le petit mélanome unique peut être retiré de façon isolée s’il est sur la peau à un endroit accessible. En cas de mélanome sous la queue, la suture sera souvent difficile. Le vétérinaire choisira le plus souvent de le laisser, d’autant que d’autres risquent de pousser à peine la plaie cicatrisée. Les traitements médicaux sont peu nombreux. Plusieurs méthodes de traitement sont décrites chez le cheval. Cependant, aucune n’est jugée entièrement satisfaisante. En prévention, il convient de limiter l’exposition des chevaux à risque (chevaux gris) au rayonnement solaire. Parfois, le traitement de petites tumeurs, dont la localisation n’est pas gênante, n’est pas nécessaire. Très rarement, les petites lésions régressent spontanément. L’exérèse chirurgicale des masses plus importantes a été décrite avec succès ; elle est parfois associée à la cryothérapie, le site tumoral étant refroidi à -20°C après exérèse. Nouvel espoir : donner le curcuma jusqu’à 15 g pour 100 kg pour prévenir les inflammations.

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